Peinture, abstraction, couleur, intensité gestuelle et grands formats dans deux galeries voisines rue Debelleyme, Paris 3ème
Au numéro 5, la galerie Karsten Greve présente jusqu'au 30 août NORBERT PRANGENBERG (à gauche)
Oscillant entre géométrie et organicité, l’univers de Prangenberg semble à première vue dominé par des formes libres et sauvages, qu’il s’agisse de ses sculptures comme de ses peintures. Pourtant, son vocabulaire repose sur des structures élémentaires : cercles, rectangles, triangles, et cylindres guident son geste. https://galerie-karsten-greve.com/fr/expositions/detail/12043-norbert-prangenberg
A quelques pas, au numéro 7, la galerie Thaddeus Ropac expose IMI KNOEBEL jusqu'au 26 juillet.
Imi Knoebel révèle les éléments matériels fondamentaux de l'art, qu'il situe dans les interactions simples entre l'homme et les conditions essentielles de notre monde. Il reste fidèle à la tradition de l'art non figuratif, suivant les traces d'artistes tels que Kazimir Malevitch ou Piet Mondrian. Il a développé une approche expérimentale et un moyen de travail en série, caractérisé par une utilisation haptique de la couleur, du vocabulaire géométrique des formes et de la simplicité des matériaux. https://ropac.net/fr/artists/52-imi-knoebel/

A gauche, vue de l'exposition Imi Knoebel, Galerie Thaddeus Ropac. A droite, exposition Norbert Prangenberg, galerie Karsten Greve, photo Nocolas Brasseur (détail)